Ces Parachiot jumelles vont nous permettre de terminer le 4e livre de la Torah.
Il s’agit surtout de commencer le 5e livre, Devarim, le Chabbath qui précède Tichea Beav, dénommé Hazon, du premier mot de l’Aftara. Un mot sur Matot, c’est là que le principe de Kacherisation de la vaisselle est précisé.
Chaque objet, selon son usage, doit être purifié. Le neuf dans un Mikvè, celui qui a servi et qui va sur le feu, par le feu et celui qui va dans l’eau, par l’eau. En revanche, celui en terre ne pourra l’être.
Je constate avec bonheur les initiatives estivales pour faciliter la restauration et l’approvisionnement en produits kacher dans notre belle région du Sud-Ouest : Arcachon, Bayonne, Biarritz, Bordeaux et Pau. Je leur renouvelle mes encouragements et souhaits de succès dans l’intérêt de la pratique religieuse.
Puis Massé, qui clôture les 40 années de pérégrinations des enfants d’Israël pour parvenir devant le Jourdain les répétitifs « Ils se déplacèrent, ils campèrent ». À chacune des 42 étapes, on retrouve les mêmes termes pour nous enseigner que le déplacement comme le campement furent faits dans le plus strict respect moral et religieux. Le peuple d’Israël, loin d’être grisé par ses conquêtes, conserva son humilité et sa foi en l’Eternel.
Afin de confirmer que toutes les dispositions prises par Moïse pour l’avenir d’Israël n’étaient que d’essence divine. Le livre de Bamidbar conclut par ces termes « ceux sont là les lois, les décrets qu’a ordonné l’Eternel, par l’intermédiaire de Moché, aux enfants d’Israël, dans les plaines de Moav sur les bords du Jourdain ».