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Il est contracté entre deux époux* de sexe différent dont la judaïté est vérifiée, comme d’ailleurs pour les autres événements touchant au statut personnel : Brit Milah, Nomination, Bar / Bat Mitswa.
S’agissant plus particulièrement du mariage, on vérifiera également ce qu’il en est de la judéité des futurs conjoints, de leurs parents et de la légalité du mariage projeté au regard du célibat, du divorce, du guet**, du veuvage. En pratique on va requérir un extrait d’acte de naissance, l’acte de mariage des parents (la Kétouba) et leur livret de famille (à défaut de ces deux derniers documents il conviendra de fournir un certificat de judéité et de célibat des futurs mariés), et le livret de famille des mariés.
Une fois le dossier validé, le Rabbin va préparer le couple auquel des cours seront donnés sur la portée de leur engagement, la manière de le vivre selon la loi juive, pour expliquer le Mikvé pour la mariée, l’acquisition de l’anneau par le marié qui servira à sanctifier la mariée par le marié etc.
Les futurs mariés sont appelés hatan pour l’homme et kalla pour la femme.
Deux hommes devront être choisis pour être témoins de la valeur minimale de l’anneau, pour assister à sa remise et signer la Ketouba. Les témoins doivent être Chomer Chabbat et n’avoir aucun lien de famille avec les mariés jusqu’au 4e degré.
Le programme de la cérémonie tient en deux parties : les fiançailles puis le mariage.
Lors de la célébration par le Rabbin on procédera à un premier Kiddouch, puis à la remise de l’anneau par le marié qui prononcera la phrase traditionnelle enseignée : « Tu m’es à présent sanctifiée par cet anneau, selon la loi de Moïse et d’Israël » (« הרי את מקודשת לי בטבעת זו כדת משה וישראל »). Ensuite on procèdera à la lecture de la Ketouba. Un second Kiddouch sera célébré et enfin 7 bénédictions seront prononcées : celles-ci peuvent l’être par des membres de la famille ou des amis au choix des mariés.
La dernière étape de la cérémonie est le bris du verre, censé rappeler la destruction du Temple de Jérusalem. A cette occasion le marié récite la phrase suivante (Psaume 137) : « Si je t’oublie Jérusalem que ma droite m’oublie. Que ma langue se colle à mon palais si je ne rappelle pas ton souvenir, si je n’élève pas Jérusalem au-dessus de ma joie ».
* on rappellera qu’en France, le mariage civil doit légalement toujours précéder un mariage religieux
** le judaïsme admet le divorce par consentement mutuel mais sa validité est subordonnée à la remise par l’ex-époux d’un document manuscrit, le Guet, selon lequel il divorce de sa femme selon la loi juive. A défaut la femme est appelée Agouna (enchaînée) et ne pourra contracter un nouveau mariage religieux alors même qu’au plan civil le divorce a été prononcé.
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Kabalat Chabbath
Minha-Arbit 19:30
Chahrit 9:15
Minha 20:30
Plaque commémorative de l’ancien hospice israélite de Bayonne
au 18 de la rue Maubec
Lettres-Patentes du Roi
Vue intérieure de la Synagogue de Bayonne, de la teba vers le hekal.
Juifs expulsés d’Espagne et leurs biens confisqués, Caspar Luyken, gravure Amsterdam, 1780.
Blason Nefousoth Yehuda, Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Ut elit tellus, luctus nec ullamcorper mattis, pulvinar dapibus leo.