Notre Paracha parle de l’enfantement et des périodes d’indisposition de la maman, qui sont écourtées de sept jours s’il s’agit d’un garçon, la Mila ayant lieu le huitième jour, alors que pour une fille, cette période est doublée. En revanche, la nomination du garçon est faite le jour de la Mila alors que la fille est nommée par son père, dès la première sortie de la Torah suivant sa naissance.
Il faut également souligner que l’on souhaite aux parents d’élever leur fils à la Torah et aux Mistvots alors que pour leur fille, dès la naissance, on souhaite la Houpa c’est dire la préoccupation de la marier !
À l’issue de la période d’impureté, pour le garçon comme pour la fille, la maman devait apporter deux sacrifices, l’un en holocauste pour remercier D. de l’avoir assisté en donnant la vie à un être, le second était expiatoire pour avoir eu de mauvaises pensées pendant les douleurs de l’accouchement. La naissance d’un enfant qui apporte la joie et la lumière dans son foyer n’a pas de prix. De nos jours où en raison de la destruction du Temple il n’y a plus de sacrifice, ils sont remplacés par nos prières sincères que nous offrons à notre créateur. On l’exprime par la récitation du GUOMEL, prière de reconnaissance récitée lorsque l’on relève de maladie, d’un danger, après un voyage ou à la libération.
Prions pour que nous puissions très vite réciter cette prière du GUOMEL pour la guérison des malades comme des blessés et la délivrance de tous les otages. Qu’Achem accorde sa protection à nos Hayalim qui se battent pour La Défense d’Israël.
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